vendredi 31 janvier 2014

Mes lectures de janvier 2014, romans et BD, coups de cœur et flops



Clairvoyance, La maison de l'ombre..., Amélie Sarn:  C'est un bon livre jeunesse. le personnage d'Emma correspond bien à ce que l'on recherche à quinze ans: des amitiés fidèles,  un grand désir de se dépasser et d'accomplir des prouesses, non par la force mais grâce à beaucoup de courage, de ténacité,  d'esprit d'analyse et d'intuition.


L'atelier des miracles, Valérie Tong Cuong: Les plus faibles ne sont pas toujours, loin de là, ceux qu'on croyait! Beaucoup aimé. 


Inverno, Hélène Frappat: C’est un récit exigeant qui demande beaucoup d’attention. Le style m’a plu, l’effort à fournir un peu moins.


Cinq jours, Douglas Kennedy: Thème connu, thème toujours actuel: l'infidélité et puis après? C'est un de ces romans qui aurait pu me plaire.  J'en ai aimé certains passages et surtout Laura,  le personnage central,  mais finalement je l'ai trouvé trop long et trop plein d'évidences mais ce qui m'a  surtout gâché mon plaisir, ce sont les dialogues, trop nombreux et trop bavards. 


Chantal Thomas, Les Adieux à la Reine: Un bon roman historique sur les premières journées de la Révolution française, vues et racontées par la lectrice royale, en 1810, alors qu'elle s'est réfugiée à Vienne, dans le quartier des émigrés, une fois terminée l'épopée napoléonienne. 


En cas de forte chaleur, Maggie O'Farrell: Un beau roman, de beaux personnages, un belle écriture et donc une bonne traduction probablement. Presque un coup de cœur.  Un vrai plaisir de lecture.


Monde sans oiseaux, Karin Serres: Pas pour moi! Je  me suis promis de ne plus m’infliger une pareille angoisse. La vie au quotidien me suffit bien assez pour ça!  



BD

Ma révérence, Lupano, Rodguen: C'est vraiment un bel album digne du "Singe de Hartlepool" du même scénariste. 


Presque de Manu Larcenet: Un vrai traumatisme ce service militaire  section disciplinaire! J'ai bien aimé. 

Un après-midi un peu couvert, Philippe Squarzoni: C'était  juste  une lecture promenade plutôt agréable mais où il manque un peu  de mordant. Ce qui me laisse quand même sur ma faim!


S.O.S Lusitania: L'histoire d'un naufrage en 1915. Début d'une série.

BD SOS LUSITANIA

mercredi 29 janvier 2014

S.O.S Lusitania, 1, La croisière des orgueilleux, Ordas, Cothias, Manini, ma BD du mercredi

BD SOS LUSITANIA


Un gigantesque paquebot  face à une toute petite silhouette humaine: la couverture est suffisamment belle pour avoir retenu mon attention et décidé de mon choix. Je ne le regrette pas. Si les couleurs étaient moins classiques, ce serait un coup de cœur. 
Il faut dire que j’aime tout ce qui touche à la mer,  les croisières, les grands navires, la marine, la mer, calme ou démontée…
Ici, dans ce premier tome de la trilogie annoncée, il ne s’agit encore que des préparatifs de la
 traversée New York –Angleterre, sur le Lusitania. Nous sommes au début de la première
 guerre, en 1915. Plus de deux mille passagers embarquent vers l’Europe pour des raisons très diverses. Ainsi le philosophe Elbert Hubbard  part pour Vienne avec l’espoir de  faire arrêter la guerre. Huit jours plus tard aura lieu le naufrage qui accélèrera l’entrée en guerre des Etats-Unis. Seuls 703 passagers survivront. Ceci, trois ans après le Titanic.
Dans ce tome, le lecteur suit avec sympathie la vie à bord du jeune gallois Mickael Morisson, dont le père combat en France et qui veut travailler pour nourrir sa famille. Deux autres beaux personnages  suscitent aussi de l’intérêt: le commodore Turner qui commande de main de maître le navire et Alfred Vanderbilt,  jeune milliardaire américain, qui  accompagne le prototype  d’une nouvelle locomotive révolutionnaire construite dans les ateliers de sa famille. 
Tous ignorent la présence à bord de trois espions à la solde des Allemands dont un agent double alsacien.  Le naufrage est le résultat d’un complot… 
J'ai beaucoup aimé le traitement de ce début de l'aventure et beaucoup apprécié également les dessins de Manini
Les tomes 2 et 3 sont annoncés pour le printemps  et la fin de l'année. 


S.O.S Lusitania, 1, La croisière des orgueilleux, Ordas, Cothias, Manini, 

Ce sera ma première participation pour le challenge de Stephie sur la guerre de 14



topbd_2013  chez Yaneck: 18



Logo BD noirLogo BD rouge


Participent peut-être ce mercredi:
Dernière minute:  Philippe Delaby, l'auteur entre autres de Muréna est décédé. (Source: rtbf culture)

Lectures communes: Noukette, Jérôme, Moka,

Anne,  AcrO,   Alex, Angéla MorelliAsphodèle,  Blogaelle, Brize,  


Carolinedécouvrelemonde,


Choco,  Chroniques littéraires, Cléanthe,    

 
Cristie Crokbulle, Cuné,   Cynthia,  Delphine,  


Didi,  Elodie,   Estellecalim,  Evalire,  Hilde,   Hélène,  


  Iluze, JViel,  L'Irrégulière, 

Hervé,

Jérôme,    Julie, 




Lirepourleplaisir, Loo, 


Lorouge, Lou, Lounima,   Lystig 


 Manu,  Margotte,  Marguerite,   Marie, Mariejuliet, 


Marjorie,  Marion,  MarionPluss,  Marilyne,
  

Mathilde, Mélo, Miss Alfie,


Miss Bouquinaix, Moka, Mo,  Mr Zombi,   Natiora,  Neph, 


Noukette,   OliV',  Pascale, Paulinelit,


  Sandrine, Sandrine (Mes Promenades),  Sandrounette,  Sara,


Sophie/Vicim,  Sophie Hérisson,


 Soukee,  Stephie,  Syl,  Theoma



Un amour de BD 

Valérie Vero,  Yaneck,  Yoshi73, Yvan,

BD du mercredi 29/01/14

La guerre des Lulus, T2 - 1915, Hans-régis Hautière/Hardoc, par Noukette
Idem, par Jérôme
Idem par Moka
Conventum, de  Pascal Giraud, par Marguerite 
Mattéo, Troisième époque, Jean-Pierre Gibrat,par Maël, La-ronde-des-post-it
Notes, saison 8, Les 24 heures, Boulet, par Cuné
Arelate, Laurent Sieurac, Alain Genot, par Cristie
Vois comme ton ombre s'allonge, Gipi, par Yvan
Salammbô, Intégrale, Flaubert, Druillet, par Yaneck
Violette NozièreVilaine chérie, Benyamina, Simon, par Sandrine(Mes promenades)
Ouessantines, Patrick Weber, Nicoby, Kness, par Syl
Le petit grumeau illustré, Nathalie Jomard, par Hélène
Les ignorants, Davodeau, par Natiora
La cuisine de Mamette, Nob, par Kikine
Le combat ordinaire, (1 à 4), Manu Larcenet, par Cynthia
Sous un rayon de soleil, T1, Tsukasa Hojo, par Elodie
Rosko T1, Per Svenson doit mourir aujourd'hui, Zidrou, Alexei Kispredilov, par Un amour de BD
Au pays de la mémoire blanche, Carl Norac, Stéphane Poulin, par Lystig
Les carnets de Cerise, T2, Le livre d'Hector, Joris Chamblain, Aurélie Neyret, par Soukee
Pablo, T1, Max Jacob, Julie Birmant, Clément Oubrerie, par Sophie/Vicim
Monster club, T1, Que le meilleur gagne et Dieu sauve la reine, par Angéla Morelli
Borderline, T3, Alexis Robin,  Nathalie Berr, par Loo
Le sursis, T1, Gibrat, par Khadielit
Annie Sullivan & Helen Keller, Joseph Lambert, par Valérie
Quatre sœurs, T1, Enid, par Hervé
Kraa, T2, L'ombre de l'aigle, Benoît Sokal, par Didi
Le jardin d'hiver,Renaud Dillies, Grazia la Padula, par MarionPluss
Le Soufflevent, T1, Andoryss, Collette, par Choco
Blacksad, 4, L'enfer, le silence, Diaz Canales, Guarnido, par Manu
Le cercle de Minsk, Franck Giroud, Jean-Marc Stalner, par Blogaelle

dimanche 26 janvier 2014

Monde sans oiseaux, Karin Serres

Je croyais l’avoir choisi tout à fait par hasard, ce petit livre dont  j’aurais parié n’avoir jamais entendu parler. Erreur! J’ai sans doute lu la chroniqued’Aifelle  sans laisser de commentaires et sans le noter. Cependant, tout le bien qu’elle en a dit m’aura suffisamment influencée  pour ne pas hésiter à le mettre dans mon panier dès que je l’ai aperçu.

Il a un succès fou, ce récit… à part quelques exceptions -  dont je fais partie hélas - et je m’ajoute à Sandrine (Ys)  à Hélène,  ICB, à qui encore (?),  pour reconnaître que ce genre de textes n’est pas fait pour moi pour plusieurs raisons dont il faut que je tienne compte si possible désormais.

D’abord pour rappel, un petit résumé: 
Au bord d’un lac du grand Nord vivent des villageois, du genre rescapés d’un passé tragique, avec en perspective un futur encore pire,  type fin du monde. La nature est belle mais menacée et menaçante. Le lac est plein de cercueils et de cochons étranges et fluorescents. Les habitations sont inexorablement condamnées par la montée des eaux Ailleurs, au delà, c’est encore pire, en plus fou et plus moderne et le village est considéré comme exemplaire. C’est dire la situation angoissante de ce monde!
Seul rayon d’espoir et de soleil: la «Petite boîte d’os», la fille du Pasteur, qui se marie avec le vieux Joseph, à la réputation de cannibale. Elle est parfaite et elle, je l’ai aimée. C’est uniquement sa présence et le besoin de savoir si elle allait se sortir de ce chaos qui m’a fait terminer ma lecture. 

Bon, alors qu’est-ce qui n’allait pas? 
D’abord, je n’aime pas les romans trop courts qui sont de plus en plus nombreux et que je prends par paresse et intérêt de blogueuse n’ayant rien d’autres à chroniquer pendant plusieurs jours quand elle lit un roman de 300 pages. Je triche en somme avec mes propres goûts!  Un roman, ça doit être long, le temps de bien s’installer sinon ça reste un récit, un conte comme ici. Je reste alors toujours sur ma faim! 

Ensuite, je m’aperçois de plus en plus nettement que autant j’aime la poésie, autant je me sens rebutée par ce qui se pare d’un petit côté onirique qui commence par me gêner et qui finit, comme ici, par m’agacer.

Enfin, et ceci terminera ce billet de bien mauvaise foi  et de très  méchante humeur: je déteste les histoires post apocalyptiques qui pullulent en ce moment. «La route» de  Cormac McCarthy m’a achevée - pour ne parler que de celui-là. Je n’ai pas pu le finir. Je  me suis promis de ne plus m’infliger une pareille angoisse. La vie au quotidien me suffit bien assez pour ça!  Je lis pour me divertir, me sortir de la peine de vivre. Finis pour moi désormais  les excès de violence, d’horreur, de laideur, de méchanceté  etc.  Je retourne au Peace and Love!  
Pour en savoir plus sur ce livre: ICI

Monde sans oiseaux, Karin Serres, (Stock, Collection La Forêt,  roman, 2013,106 pages) 

vendredi 24 janvier 2014

En cas de forte chaleur, Maggie O'Farrell

Ayant beaucoup aimé un précédent roman de Maggie O'FarrelL'étrange disparition d'Esme Lennox, j'étais très curieuse de voir si j'aimerais autant celui qui vient de paraître en ce début d'année 2014: En cas de forte chaleur.
Je viens de refermer le livre et je n’ai qu'une envie, c'est de soupirer, sourire de béatitude aux lèvres
«Bien, bien, c’était vraiment bien!»
 Voilà la seule chose que j’ai envie d’écrire en refermant ce livre. 
Quoi d’autre? Un beau roman, de beaux personnages, un belle écriture et donc une bonne traduction probablement. Presque un coup de cœur.  Un vrai plaisir de lecture.
Comme toujours dans ces cas-là, je me suis identifiée à cette famille dont le père disparaît un matin de canicule à Londres Je me suis glissée parmi les  trois enfants adultes qui, désunis depuis quelque temps, vont se regrouper autour de leur vieille mère, déboussolée pour une fois, et tenter de résoudre l'énigme en quatre jours de grande chaleur, dans leur  Irlande familiale, où les attendent bien sûr les éternels secrets de famille, liés en partie au passé historique et politique de leur île. Nous sommes en 1976 et la situation est très tendue. Chacun est venu avec armes et bagages, sa propre famille, ses enfants ou ceux qu'on n'a pas encore eus, ceux dont on n'a pas voulus et qui pèsent pourtant très lourd dans l'histoire familiale. Ce sont quatre journées de forte chaleur aussi bien émotionnelle que physique.

 Jusqu'ici, une de mes romancières préférées était une autre irlandaise: Nuala O'Faolain. Désormais,il y aura aussi Maggie O'Farrell. 

Quand une 4ème de couverture est bien faite, pourquoi ne pas la reprendre quand on manque de temps? La voici,  sans scrupules. 

Comme chaque matin depuis trente ans, Robert Riordan part acheter son journal. Mais en ce jour caniculaire de juillet 1976, Robert part et ne revient pas. 
Dans leur maison londonienne, Gretta, sa femme, s'interroge: quelle mouche a bien pu le piquer? Doit-elle prévenir les enfants? 
À peine réunis, ces derniers tentent de prendre la situation en main: les placards sont retournés, les tiroirs vidés, chaque pièce fouillée en quête d'indices. 
Mais, alors que le mystère autour de leur père s'épaissit, les vieilles rancœurs resurgissent. L'aîné en a assez: pourquoi est-ce toujours à lui de prendre en charge sa famille? Quant aux deux soeurs, jadis si proches, quel événement a brisé leur lien, si terrible que la cadette a décidé de mettre un océan entre elles? Et Gretta, a-t-elle vraiment tout dit?

Après Cette main qui a pris la mienne, récompensé du Costa Award, Maggie O'Farrell signe un roman éblouissant, chargé de délicatesse et de grâce. Des rues de Londres aux studios arty du New York des seventies, en passant par un village irlandais, le portrait inoubliable d'une famille suffoquant sous les mensonges et les non-dits.
 
Autres billets: Nadael, Sylire, Titine,   Belledenuit, Cathulu,  et plus encore sans doute...

En cas de forte chaleur, Maggie O'FARRELL
Roman traduit de l'anglais (Irlande) par Michèle VALENCIA
 (Belfond,  janvier 2014, 348 pages)

Mes remerciements à Babelio pour l'envoi de ce livre;

Livres contre critiques



mercredi 22 janvier 2014

Un après-midi un peu couvert, Philippe Squarzoni, ma BD du mercredi


Je cherchais le dernier album de Philippe Squarzoni, paru en 2010, le si apprécié


"Saison brune", sur le climat et ses 

menaces, tout à fait d'actualité après les

 inondations de ces derniers jours. Il était

 sorti alors je me suis repliée sur l'album

 précédent  datant de   2008,  tout en 

couleur sépia, de la couverture à la dernière

 page: Un après-midi un peu couvert.

Un homme seul  debout sur des rochers, sur fond nuageux,  un envol d'oiseaux blancs autour de lui, tiens ça je connais, on dirait une île bretonne. A l'intérieur, rien que des planches de six cases carrées, sépia elles aussi. Des gros plans de personnages tranquilles qui se parlent et se promènent, de nombreux paysages de mer, des bateaux de pêcheurs,  des maisons isolées, une chapelle en ruine,  un phare, ses gardiens et leur chien, c'est désert. Nous sommes bien sur une île bretonne.                                                              


Le jeune homme de la couverture, Pierre, est omniprésent. Il vient de débarquer sur l'île, pour retrouver son amie, ornithologue, car  une partie de l'endroit est une réserve naturelle mais elle lui annonce qu'elle ne pourra pas le voir  avant la nuit en raison d'une réunion de 
spécialistes. Il en prend son parti: 

"Je crois que je vais explorer l'île. Aller à la rencontre des autochtones...
- Attention,C'est une réserve naturelle protégée. Interdiction d'aller troubler les sirènes qui se
prélassent sur les rochers!
- Tu sais, moi j'en suis resté à Peter Pan et Wendy. Je suis l'innocence même.
-Tous les enfants grandissent, Pierre. A ce soir."

Et voilà, tout est dit ou presque entre la première et la quatrième de couverture, tout est là. 
Il n'y a pas à comprendre grand chose ni  à s'attendre à de grandes révélations.  ce que j'ai fait et qui était une erreur. J'avais oublié qu'on était en compagnie de gens pudiques, de villageois qui savent tenir leur langue  et qui peuvent se montrer aussi hospitaliers et chaleureux que taciturnes et discrets quand il s'agit d'histoires peu morales. Il faut soupçonner, deviner. Un instituteur aurait commis des actes répréhensibles sur les enfants de l'île mais personne ne veut en parler, surtout pas les parents qui  craignent tous les journalistes. 
Seul résultat pour Pierre: le faire réfléchir à sa propre situation. Il fait une belle rencontre: celle d'une femme  enceinte à qui il se confie sur ce complexe de Peter Pan qui lui fait refuser de grandir et de vouloir des enfants. Elle est institutrice. Il est bibliothécaire 
"Peut-être que c'est préférable finalement la loi du silence.
Est-ce que ça signifie que nous ne sommes pas sur l'île imaginaire et que tu n'es pas la fée Clochette?
Peter promit de ne pas oublier et il s'en alla"

Ai-je bien tout  compris? Je ne sais pas!  C'était  juste  une lecture promenade plutôt agréable mais où il manque un peu  de mordant. Ce qui me laisse quand même sur ma faim! Un peu plus de clarté dans le récit m'aurait sans doute été nécessaire! 

L'auteur  a déclaré que ce n'était pas un récit autobiographique. 





Un après-midi un peu couvert, Philippe Squarzoni, (Delcourt, août 2008,78 planches)



topbd_2013  chez Yaneck: 15


Logo BD noirLogo BD rouge

Participent peut-être ce mercredi:

Bon anniversaire, Jérôme
Bienvenue à Cynthia et à Didi. 

Anne AcrO,   Alex, Angéla Morelli, Asphodèle,  Blogaelle, Brize,  



Choco,  Chroniques littéraires, Cléanthe,    

 
Cristie,  Crokbulle, Cuné  Cynthia Delphine,  


Didi,  Elodie,   Estellecalim,  Evalire,  Hilde,   Hélène,  


  Iluze, JViel,  L'Irrégulière

Hervé,

Jérôme   Julie, 




Lirepourleplaisir, 


Lorouge, Lou, Lounima,   Lystig,  


 Manu,  Margotte,  Marguerite,   Marie, Mariejuliet, 


Marjorie,  Marion,  MarionPluss ,  Marilyne,
  

Mathilde, Mélo, Miss Alfie,


Miss Bouquinaix, Moka, Mo,  Mr Zombi,   Natiora Neph, 


Noukette,   OliV',  Pascale, Paulinelit,


  Sandrine, Sandrine (Mes Promenades),  Sandrounette,  Sara,


Sophie/Vicim,  Sophie Hérisson,


 Soukee,  Stephie Syl Theoma



Un amour de BD,  

Valérie,  Vero,  Yaneck,  Yoshi73, Yvan,

BD du mercredi 22 janvier 2014
Wake up, America, 1940-1960, Lewis, Aydin, Powell, par Mo, 
Les carnets de Cerise 2, Le livre d'Hector, Chamblain, Neyret, par Noukette
idem par Jérôme
idem par Sophie Hérisson,
Blankets, Craig Thompson, par Marguerite
Gen d'Hiroshima, (10 tomes), Keiji Nakazawa, par Cuné
Love 2, Le renard, Brrénaud, Bertolucci, par Marilyne
Ma révérence, Lupano, Rodguen, par Sandrine (Mes promenades)
Seules contre tous, Miriam Katin, par Yaneck
Metropolis, Lehman, De Caneva, par Angéla Morelli
Un peu de bois et d'acier, Chabouté, par La -ronde-des post-it
Blacksad - 3, Ame rouge, Diaz Canales, Guarnido, par Manu
Hedge Fund, T1, Des hommes d'argent, Roulet, Sabbah, Henaff, Burgazzotti, par Un amour de BD 
Demba Diop, Tempoe, Mor, Daniel, par Natiora
Melvile, Romain Renard, par Theoma
Vois comme ton ombre s'allonge, Gipi, par Cristie
Le siècle des ombres, Corbeyran, Suro, Malisan, par Lystig
La mélodie de Jenny, Tukasa Hojo, par Elodie
Skandalon, Julie Maroh, par Valérie
Au vent mauvais, Rascal et Murat, par Yvan
Blast,1, Grasse carcasse, Manu Larcenet, par MarionPluss
Le combat ordinaire, T3, Manu Larcenet, par Khadielit
Pinkerton, Dossier Jesse James, 1875, T1, par Syl
Mauvais genre, Chloé Cruchaudet, par Kikine
Une vie à écrire, Félix,  Liman, par Cynthia
Couleur de peau: miel, Jung, par Anne
Retour au centre de la terre, T1. Le chant des abysses, Ludo Lullabi, par Didi
Hero Corp, T2, Chroniques, Astier, Créty, Louis, Duarte, Lamiraud,par Mr Zombi
Ekhö,  Monde miroir, t1, New York, Arleston, Barbucchi, Levreton, par Hilde
Le bleu est une couleur chaude, Julie Maroh, par Sophie/Vicim
Ce qu'il en reste, Dauvillier, D'aviau, par Caroline découvre le monde.